Un titre à double sens. Parce qu’on peut aimer une ville sans toujours la comprendre. Parce qu’on peut la trouver magnifique, inspirante, solaire — et pourtant s’y sentir freiné, invisible, en décalage.
Ce projet naît de là.
De cette tension entre le potentiel immense de la ville et la réalité sur le terrain. D’un constat simple : à Arles, la jeunesse a trop souvent été laissée sans espaces, sans propositions, sans respiration.
Arles, mon amour, c’est l’envie d’inverser le mouvement.
Créer des lieux, des moments, des événements qui ressemblent à notre génération : curieuse, libre, audacieuse. Remettre du son, du lien, de la vision. Faire émerger une scène. Faire bouger ce qui semblait figé.